Votre agence de Seilh fait le point sur l’accès au crédit immobilier pour les femmes !

Désormais, tout le monde sait que, malheureusement, les femmes ont des salaires moins élevés que les hommes. Et une des conséquences de cette situation, c’est qu’elles rencontrent plus de difficulté que ces messieurs à devenir propriétaires de leur logement. Eh oui, on constate qu’elles accèdent à la propriété plus tard. Comme elles gagnent moins (selon les statistiques nationales, environ 10 % de moins), il leur faut en moyenne deux ans de plus pour acheter. Elles le font pour la première fois à 38 ans en moyenne alors que les hommes y parviennent à 36 ans. Alors pourquoi ces inégalités? Empruntis, courtier en crédits immobiliers, a voulu tirer cette situation au clair. À l’occasion de la Journée de la femme, il a réalisé une étude que vous rapporte votre agence immobilière de Seilh.

Les femmes ont plus de mal à accéder au crédit
Elles perçoivent un salaire plus faible donc forcément une capacité de remboursement moins élevée (100 € en moins en moyenne). La proportion de femmes divorcées est le double de celle des hommes : 17,87 % contre 9,28 %. Et elles sont deux fois plus nombreuses à avoir un ou des enfants à charge lors de la souscription de leur prêt. Or, les banques considèrent le dossier d’une femme divorcée, avec des enfants, comme plus risqué. Et le pire, c’est que comme elles sont plus âgées, elles paient souvent leur assurance de crédit un peu plus cher. En moyenne, l’assurance leur coûte 500 € de plus. De surcroît, elles doivent rembourser sept mois de plus que les hommes.

Comme les banques jugent leurs dossiers plus risqués, les femmes candidates à l’emprunt sont vraiment dans l’obligation de présenter à la banque un dossier irréprochable, sans découvert, ni prêts à la consommation et d’être convaincante en avançant les bons arguments si elles ont connu des périodes d’inactivité ou de temps partiel.

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